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caserne gendarmerie silhouettes bac pour devenir gendarme

Quel bac pour devenir gendarme : toutes les voies accessibles

Table des matières

Si vous vous demandez quel bac pour devenir gendarme ou si votre parcours correspond vraiment aux criteres, on observe que la gendarmerie mise avant tout sur la motivation plutot que sur une case diplomatique bien precise. Il n’est pas necessaire d’avoir suivi un “bac ideal” ni d’avoir ete le major de sa promotion : chaque niveau scolaire offre sa porte d’entrée, du GAV accessible meme sans le bac au concours SOG ouvert a tous les bacheliers, avec de reelle passerelles pour evoluer ensuite. Ce qui suit s’attache a des infos concretes et a des temoignages vecus pour vous orienter sans discours formaté ni jargon decourageant (certains anciens candidats racontent que le systeme est parfois plus souple qu’on ne le croit).

Vous souhaitez rejoindre la gendarmerie et vous vous interrogez sur le rôle du bac dans cette aventure ? Bonne nouvelle : il existe des options adaptées quel que soit votre parcours, qu’on soit sans diplôme, titulaire d’un bac ou encore bac+5 soigneusement obtenu. Contrairement à certaines idées reçues, l’univers gendarmerie s’ouvre à tous, sans sélection élitisteet cela se vérifie dans la pratique quand on regarde les profils des dernieres promotions.

Dernier point à noter, on peut devenir gendarme sans le bac en commençant comme GAV (Gendarme Adjoint Volontaire). Obtenir le bac permet naturellement d’accéder au concours de sous-officier. Chaque niveau supérieur ouvre la porte à des concours spécifiques. Si la spécialité du bac n’a finalement que peu de poids sur la selection, les Bac Pro Métiers de la Sécurité sont régulièrement mis en avant pour celles et ceux déjà tournés vers ces métiers. Un instructeur soulignait récemment que des bacheliers littéraires réussissent aussi brillamment.

Résumé des points clés

  • ✅ La motivation prime sur le diplôme pour devenir gendarme
  • ✅ Plusieurs voies d’accès selon le niveau scolaire, y compris sans bac
  • ✅ Le Bac Pro Métiers de la Sécurité est souvent mis en avant, mais d’autres profils réussissent aussi

Quel bac pour devenir gendarme ? Réponse claire, rapide, et rassurante

jeunes diplômes bac pour devenir gendarme

Autre point : la gendarmerie ne propose pas une seule voie d’accès, et l’absence de bac n’est pas une impasse. Regardons concrètement comment cela s’articule.

La voie sans diplôme : Gendarme Adjoint Volontaire (GAV)

Pas de bac ? Rien n’est perdu : le statut GAV permet d’intégrer la gendarmerie dès 17 ans (il reste nécessaire d’être majeur au moment de signer le contrat). Cette alternative séduit ceux qui préfèrent “entrer dans le concret” rapidement au lieu de poursuivre de longues études.

Pour faciliter la réflexion, gardez en tete :

  • Recrutement ouvert sans condition de diplôme pour les candidats motivés
  • L’âge à respecter : de 17 à 26 ans lors du passage des tests
  • Un contrat de base de 2 à 5 ans, renouvelable selon l’expérience et la motivation
  • Concours comportant des épreuves abordables pour certains, mais la sélectivité demeure notable (taux d’admission environ 1 sur 10, selon les années)

On remarque que de nombreux GAV choisissent ensuite de se présenter au concours interne de sous-officier, après avoir acquis de l’expérience sur le terrain… ce chemin est souvent vanté sur les forums d’anciens où beaucoup n’avaient pas reçu leur bac du premier coup.

Sous-officier de gendarmerie (SOG) : le bac, mais pas la prise de tête

Le concours de sous-officier reste accessible à chaque titulaire du bac, quelle que soit la spécialité. Que l’on vienne d’un bac général, technologique ou professionnel, on part sur un pied d’égalité avec les autres candidats. À titre d’exemple, plus de 15 000 postes avaient été ouverts récemment pour ce concours, mais le taux de réussite demeure inférieur à 10 %il est donc recommandé d’arriver bien préparé !

Une formatrice évoquait qu’elle avait suivi un ancien apprenti pâtissier ayant brillamment réussi sa reconversion comme gendarme, démontrant qu’il n’est pas nécessaire d’avoir suivi une formation scientifique ou technique pour y parvenir.

Officier de gendarmerie : cap sur les études supérieures

Pour briguer un poste d’officier, avec responsabilités et management à la cle, il vaut mieux viser un bac+3 minimum, parfois un bac+5 selon la voie choisie. C’est le moment où le parcours universitaire ou l’expérience professionnelle apportent un vrai plus.

Sachant que le concours reste particulièrement sélectif et se tient chaque annee, mieux vaut soigner son dossier et sa motivation… (certains témoignages font état de sessions d’entraînement intensif à la gestion du stress, avec bénéfices réels lors de l’oral).

Statut Niveau requis âge limite
GAV Aucun (sans diplôme) 17 à 26 ans
Sous-officier Bac ou équivalent 18 à 35 ans
Officier Bac +3/Bac +5 18 à 27 ans (externe)
CSTAGN 3 ans d’expérience pro 17 à 35 ans

Spécificités et conditions d’accès

Passer la barrière du diplôme ne règle pas tout, comme on pourrait parfois penser. La sélection en gendarmerie repose sur une combinaison d’âge, de motivation et de démarches administratives assez exigeantes. Si vous cherchez les points essentiels et concrets, voici un aperçu :

Âge limite, tentatives et calendrier des concours

Chaque filiere impose sa propre fourchette d’âge, et il reste crucial d’être attentif ! Pour GAV, c’est possible entre 17 et 26 ans ; pour sous-officier, jusqu’à 35 ans (une veritable marge pour ceux qui songent à une reconversion). Concernant le concours SOG, le nombre de tentatives par candidat est limité à trois. Les concours ont lieu une fois par an, ce qui oblige à se préparer sérieusement sans repousser éternellement le projet.

Ajoutons que trois années d’expérience professionnelle peuvent compenser l’absence de diplôme sur certains postes techniques (CSTAGN). Cela semble indiquer que les itinéraires “hors filière scolaire” ne sont pas éliminés d’emblée.

Bon à savoir

Je vous recommande de bien vérifier les conditions d’âge et les limites de tentatives dès que vous envisagez le concours, car ces critères sont stricts et fixés par la gendarmerie.

L’enquête administrative, l’épreuve invisible

Même si la partie scolaire ne pose pas de souci, chacun doit pouvoir réussir l’enquête de moralité avant l’intégration. La carrière de gendarme repose sur la confiance (et le serieux au quotidien) ; certains professionnels insistent sur le fait que l’examen du passé est obligatoire pour garantir la sécurité du service.

Avoir un casier judiciaire vierge reste préférable, mais selon la gravité et la cohérence du parcours, il arrive qu’un candidat soit examiné individuellement (cette dimension est parfois abordée lors des réunions d’information officielles).

Evolution et passerelles internes

Commencer en bas de l’échelle n’empêche pas de progresser – l’ascenseur interne fonctionne vraiment en gendarmerie, surtout pour celles et ceux qui s’investissent tout au long de leur parcours (on croise souvent de belles histoires de progression lors des portes ouvertes).

Du GAV au sous-officier (et plus si affinités)

On constate que près de la moitié des GAV vont tenter le concours interne de sous-officier après quelques années de service. L’expérience engrangée devient un atout précieux, et les épreuves sont calibrées pour ceux qui connaissent déjà le métier.

Voici une synthèse des étapes-clés pour évoluer :

  • Débuter en tant que GAV avant de présenter le concours SOG en interne
  • Accéder à la promotion interne vers officier, souvent après plusieurs années d’expérience
  • Expérimenter une mobilité vers des métiers techniques ou spécialisés (CSTAGN, réserviste…) en fonction des opportunités et de l’envie de se diversifier

Certains racontent avoir croisé d’anciens GAV devenus officiers, preuve que la passerelle existe reellement !

Préparation et coaching : comment maximiser ses chances ?

Le concours relève autant du mental que de la théorie. Souvent, on oublie que moins de 1 candidat sur 10 franchit l’ensemble des étapes (écrits, oraux, épreuves physiques). Est-ce vraiment insurmontable ? Nombreux sont ceux qui soulignent que la préparation est déterminante.

Les outils pour bien se préparer

Certains sites proposent des supports concrets, des formations a distance et même du coaching individuel (on peut citer Hupso ou le forum G Comme Gendarme). S’entraîner, réviser et échanger avec d’autres candidatsen stage ou sur les réseaux sociauxpermet de garder la motivation intacte. Un expert en préparation évoquait récemment qu’un groupe WhatsApp dédié avait permis à plusieurs candidats de rester sur les rails.

Pour optimiser ses chances, on recommande généralement :

  • Réviser les épreuves écrites et les exercices psychotechniques en se basant sur les annales disponibles
  • Suivre une préparation physique soutenue : des barèmes précis encadrent l’accès à SOG et officier
  • Échanger des conseils et anecdotes sur les forums spécialisés : chaque témoignage permet régulièrement d’éviter certains pièges
  • S’inscrire à un coaching ou une session de préparation pour la gestion du stress à l’oral

On entend parfois qu’un simple échange sur un forum ou une lecture d’annales gratuites peut pivoter la trajectoire d’un candidat (par exemple, certains intègrent via le bouche-à-oreille des groupes d’entraide qui redonnent confiance juste avant les sélections).

FAQ : Questions récurrentes & témoignages inspirants

Pour finir, abordons les questions qui reviennent le plus souventy compris celles qu’on hésite à poser lors des réunions d’information. Pas de langue de bois ici !

Peut-on devenir gendarme sans le bac ?

Absolument. C’est même l’un des plus nets ascenseurs sociaux du secteur public : la filiere GAV accueille les candidats motivés sans condition de diplôme, sous réserve d’un casier vierge et du respect des critères d’âge (on conseille toutefois de bien se renseigner en amont).

Quel bac choisir pour mettre toutes les chances de son côté ?

Concrètement, tous les bacs ouvrent la voie au concours SOG. Les profils déjà attirés par la sécurité ou l’intervention se tournent volontiers vers le Bac Pro Métiers de la Sécurité, mais les bacs technologiques ou generaux sont tout aussi pertinents,. Dernier point à retenir : la préparation et la solidité mentale font souvent la vraie différence.

Combien de fois peut-on tenter sa chance ?

Trois tentatives sont accordées pour le concours SOG. Il vaut donc la peine de ne pas s’y risquer à la légère ! Certains professionnels rapportent le cas d’un candidat réussi à la troisième tentative, après avoir manqué les deux premières par manque de préparation (c’est pas toujours evident, mais rien n’est perdu).

J’ai arrêté mes études mais bossé 3 ans, c’est mort ?

Pas nécessairement. Pour certains métiers techniques (comme CSTAGN), 3 ans d’expérience professionnelle suffisent à remplacer un diplôme scolaire. La gendarmerie aime les profils atypiquesplus d’un chef de groupe témoigne que ces parcours divergents sont aujourd’hui valorisés.

Un dernier conseil ?

N’hésitez pas à tenter votre chance : la richesse des parcours fait la force du collectif en gendarmerie. Entourez-vous, partagez votre motivationet passez la porte, meme si cette orientation n’etait pas prevue a la sortie du lycée !

À voir aussi : Site officiel Gendarmerie Nationale | Forum G Comme Gendarme | ONISEP Gendarmerie

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